Dans la vallée de l’Arve, selon “l’ATMO” – la fédération en charge de la surveillance de la qualité de l’air par l’Etat depuis plus de 20 ans – (cf synthèse 2018) la pollution atmosphérique serait en majeure partie liée au bois de chauffage.
En 2019, Les investigations du collectif “Coll’Air pur” et du centre scientifique indépendant “Analytica” ont souligné l’absence de molécules caractéristiques de la combustion du bois. (cf ici!)
En septembre dernier le collectif a lancé une campagne de santé afin de déterminer ou non la présence de métaux lourds dans les cheveux des enfants de la vallée … affaire à suivre.
Que faire face aux différents discours et aux enjeux économiques indéniables …
Ne serait-il pas absurde d’attendre LA réponse évidente qui mettrait fin aux débats ?
Rappelons-nous que la pollution atmosphérique n’est pas le seul danger ; la période actuelle nous empêche de vivre sans prendre en considération la dangerosité de certains micro-organismes.
La prévention restant l’une de nos meilleures alliées : laissons place à l’action, imaginons ensemble, échangeons et adoptons de bons reflexes pour les générations futures et la nôtre !
- Contrôle de la composition des terres d’élevages de bétails et de cultures ;
- Rinçage systématiquement des fruits et légumes ;
- Epluchage des légumes-racines ;
- Eliminations des parties grasses des viandes et poissons ;